Année franco-coréenne 프랑스어 한국어 년

Pour célébrer les 130 ans de l’établissement des relations diplomatiques entre les deux pays, Mme Park Geun Hye et le président français ont confirmé le souhait de mettre en place une année franco-coréenne. En effet la France est le dixième investisseur étranger en Corée pour un montant qui excède les 3 milliards d’euro. Les deux pays sont donc très liés économiquement parlant. De plus les français sont accoutumés aux produits coréens par exemple dans le domaine de la téléphonie, de l’automobile ou encore de l’électronique.

L’année franco-coréenne est co-présidé par Henri Loyrette (conseillé d’état, a été longtemps président directeur du Louvre) et Cho Yang-Ho (président de la compagnie Korean Air). Ensemble ils ont choisi 6 thématiques :

Vivre la ville →illustre le dynamisme culturel des métropoles
                      →réfléchir aux nouveaux modes de vie

L’homme, la terre, le ciel et l’eau →comment l’homme développe-t’il  en Corée et en France sa                                                               relation avec  son environnement ?

Découvrir et voyager →la France est la première destination touristique contrairement à la Corée du                                          Sud qui est méconnue.
                                       →occasion d’augmenter le tourisme et de découvrir la culture dans les deux                                            pays.

Communiquer →nouvelles technologies de l’information

L’homme et la machine →enjeux  de la révolution industrielle
                                           →robots

Le passé pour l’avenir →mettre en avant le patrimoine qui représente l’identité des peuples


Cette année franco-coréenne débutera par une année de la Corée en France de septembre 2015 à août 2016 et se poursuivra par une année de la France en Corée de janvier à décembre 2016. Elle sera l’occasion de mettre en avant le dynamisme économique et les coopérations scientifiques des deux pays. Notamment des recherches scientifiques communes menées par des universitaires. Ces relations doivent en outre encourager les étudiants de chacun des deux pays à poursuivre une partie de leur cursus scolaire l’autre.

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